Cérémonie d'allégeance: Amaurie - Avril 1460

Ascalon regardait la salle, pour voir qui était présent mais qui n'était pas venu devant le comte mais également commencer à comptabiliser les absents pour commencer à préparer les futurs courriers.

Durant ce moment de réflexion, un homme aux couleurs de Termonde s'approcha de lui pour lui tendre un pli. Le héraut se saisit alors du document écrit de la main du vicomte qui était venu par la mer pour combattre l'infamie dans laquelle un fou avait voulu plonger le Comté. Il examina le plis et le tendit au Comte des Flandres

Citation :: Par la présente, moi, Sardanapale de Hauteville, Vicomte de Termonde et Seigneur de Meteren, prête serment d’allégeance au Comte de Flandres, en la personne de Sa Grandeur Guillaume Amaurie d'Apperault, et à travers lui à sa Royale et Très Aristotélicienne Majesté Vonafred.

Je lui promets de toujours lui apporter, lorsqu’il en éprouvera le besoin, mon aide (auxilium), mon respect (obsequium) et mes conseils (consilium).

Je lui souhaite d’être guidé dans sa tâche par le Seigneur, et de savoir reconnaître la voie de la loyauté et de la fidélité au Royaume.

Fait à Antwerpen le dixième jour d’avril de l'an 1460
Par Sardanapale de Hauteville, Vicomte de Termonde

Ironie du sort, c'est à ce moment là qu'Ascalion s'approcha pour venir prêter allégeance, tout en "grillant" la priorité du baron d'Estaimbourg qui ne semblait pas apprécier la chose.

Ascalon esquissa un sourire, allait-il y avoir du sport ? Un duel pour clôturer la cérémonie ? Un échange d'amabilité ? Il regarda alors les deux hommes, tour à tour.

Alineaire pensa qu'enfin son tour était arrivé et avança tranquillement. Il s'approcha de sa grandeur Amaurie.

Moi, Alineaire, Seigneur d'Espierres, prête allégeance aux Flandres et à sa grandeur le comte Amaurie . Je leur jure Auxilium, Obsequium et Consilium.
Qu'Aristote et Sainte Illinda bénissent votre règne

Le héraut sentait la cérémonie toucher à sa fin. Un regarda vers l'assemblée, un autre vers le comte, tout le monde semblait dormir. Il se tourna vers un jeune page pour qu'il s'approche. Le héraut lui donna un bout de papier afin de donner des consignes aux gardes à l'entrée, qu'il ne fasse se presser les nobles, si un d'eux arrivait.

Spoiler:

Sentant la pression se faire derrière lui, Khalidia se releva, et tendit un pli au Comte.

Je suis également messager, aujourdhui, votre grandeur. Ma compagne, Keewy, m'a demandé de vous remettre ceci :

Citation :: A Sa Grandeur Guillaume Amaurie d'Apperault,

Nous, Keewy, Dame de Santes, vous reconnaissons par la présente comme Comte des Flandres. Nous vous jurons respect, aide et conseil, à vous et au peuple des Flandres.

Que Sainte-Illinda vous protège durant votre mandat.

Respectueusement.

Keewy, Dame de Santes
Fait à Tournai,
Le 10 avril 1460

Voilà votre Grandeur.

Invité

Citation :: Moi Guillaume Amaurie d'Apperault, Comte des Flandres,

A, Adrienne de Hoegaarden, Marquise de Senlis, Comtesse de Menin, Vicomtesse de Monestier de Briançon, Baronne de la Tour du Pin, Dame de Saint Giraud, de Gavre et de Vinderhoute.
J'accepte votre allégeance et vous promets en retour justice protection et subsistance.

Fait le 10 du mois d'Avril 1460 à Bruges
Guillaume Amaurie d'Apperault
Comte des Flandres

Invité

Puis se présenta Khalidia qui prêta allégeance et lui remis un pli de la part de la Dame de Santes.

Khalidia, Seigneur d'Esclaibes et Vicomte d'Antoing,
J'accepte votre allégeance et vous promets en retour justice protection et subsistance.
Je vous invite, à rejoindre sans tarder les rangs de l'armée Comtale pour que je puisse profiter de votre assistance et de vos conseils.

Puis il fif rédiger une missive pour la Dame de Santes.

Citation :: Moi Guillaume Amaurie d'Apperault, Comte des Flandres,

AKeewy, Dame de Santes.
J'accepte votre allégeance et vous promets en retour justice protection et subsistance.
Je vous invite à rejoindre sans tarder l'armée Comtale pour que je puisse profiter de votre assistance et de vos conseils.

Fait le 10 du mois d'Avril 1460 à Bruges
Guillaume Amaurie d'Apperault
Comte des Flandres

Invité

Un sourire se dessina sur le visage d'Amaurie quant il lu la missive de son illustre cousine.

Citation :: Moi Guillaume Amaurie d'Apperault, Comte des Flandres,

A,Dotch de Cassel, Duchesse de Saint Florentin, Comtesse d'Armentières par la grâce de votre époux Sir Lilin de Cassel, Vicomtesse de Cassel par la grâce de nvotre époux Sir Lilin de Cassel, Baronne de Château-Thierry, Dame de Mathusalem.
Salutations.
J'accepte votre allégeance et vous promets en retour justice protection et subsistance.

Fait le 10 du mois d'Avril 1460 à Bruges
Guillaume Amaurie d'Apperault
Comte des Flandres

Aux couleurs de Gosselies, le vicomte s’avança parmi les invités, flamands et félon étant la. Certain n'avais vraiment aucun amour propre, près à mettre un genoux à terre pour faire une allégeance à des terres qu'ils ne méritent pas ou plus, pour garder un nom, un titre, alors qu'ils ont craché et jeté le discrédit sur leurs gens au nom de la corruption.

S'il n'ait pas eu la retenue nécessaire, il aurait lui aussi cracher au visage de ces traîtres aux Flandres.

C'est donc limite en colère qu'il fit son allégeance aux Flandres.

Nous, Pino van Westmalle, vicomte de Gosselies et seigneur de Premesques, de Lendele et de la Beuvrière jurons devant Aristote et les hommes présents ce jour, aide, conseil et fidélité au comté des Flandres. Nous jurons de servir au mieux les intérêts des Flandres et d'apporter notre aide au conseil comtal. Qu'a l'heure ou une parole n'as pas de valeur, sachez que la notre, bien, et que notre épée, notre sang sont flamand.

Nous plaçons entre les mains du Comte Amaurie nos terres de Gosselies et Premesques et renouvelons notre allégeance en tant que fidèle vassal.

Qu’Aristote et Sainte Illinda en soient témoins.

La Misanthrope, roide comme toujours et à jamais, inspirait doucement, lentement, tentant peut être en vain de calmer les obscures aléas de son esprit décati, par trop usé par les ignominies décevantes de la lie écumante. A moins peut être que de voir l’empressement de certains, quitte à en oublier la plus vile politesse pour mieux se complaire en les plus orgueilleuses bassesses, vienne à la faire oublieuse le temps d’un instant de son flegme coutumier.

Ainsi, à jauger le manège peu élogieux des inclinaisons prestement menées, d’aucunes âmes aguerries purent voir la Terreur murmurer en un venin sec, froid, austère mais si discret :

Eternels précipités.

Ajouté à cela, véritable cerise sur le gâteau, elle sentit soudain le poids éloquent de quelques pairs d’yeux par trop curieux pour si complaisamment la dévisager, l’enlisant comme dans un étau. Un sourcil s’arque, le marmoréen visage se détourne, les prunelles d’obsidiennes recouvrent rageusement l’envoyé, le page, l’humble valet d’or et de sable.
Les pupilles deswaardiennes semblent alors directement s’adresser à la menuaille damnable, paraissant ainsi lui déclamer sévèrement, tandis que la bobine n’en reste pas moins figée, pas moins rigide, « Détournez prestement le regard, manant ! ».

Du reste, une sénestre diaphane, sous la tension, peut être, vient à se refermer à même le vide d’un pommeau d’une lame effilée absente ce jour, délaissée pour l’occasion, abandonnée afin que de ne guère créer la moindre agitation. Sentant dès lors la présence du néant, la Sombre serra plus surement encore l’objet tenu en dextre.
D’ailleurs, quand son tour fut enfin arrivé, elle avança lentement jusqu’aux devants du trône, mesurant ses pas, mesurant ses pensées probablement en émoi.

Votre Altesse, Seigneur Comte…

Et la Deswaard de poser genou en terre, à l’instar de ses précédents mais trop rares congénères, avant de se racler gracieusement la gorge et de s’attarder à poursuivre, presque docile.

Je crois devoir à Sa Grandeur l’expression même de ma plus grande dévotion, et si mes maux se trouveront par trop incompris, que les idiots se meurent d’avoir pu croire un jour que je fus âme asservie par la douleur sauvage d’intérêts compromis.

La tête était quelque peu basse, plus que d’accoutumée, les yeux, quant à eux, portés seulement sur le dallage dont elle était si proche, si près.

Qu’il plaise au Seigneur Comte de recevoir au travers de ma personne et par moi, à la fois les vœux de la Chancellerie, à la tête de laquelle je fus nommée par vous, en plus de mon serment. Ainsi, le service diplomatique se joint à moi lorsque je vous assure humblement l’obsequium, le consilium et l’auxilium qui vous est dû à vous, à la Couronne que vous ceignez et indéfectiblement à celle de France.

Puis, redressant le visage, portant son regard sur la tête couronnée, elle tendit l’épais vélin tenu en main, le fameux objet, qu’elle s’attarda à dérouler elle-même, de telle sorte qu’elle puisse révéler peu à peu son contenu exclusivement au jeune Apperault et à son illustre invitée.

Vierge.
Un papelard de qualité, pourtant presque immaculé, dépourvu de toute tache, de toute insalubrité, de toute faute.

Hormis d’un titre élégamment mis en forme.
Titre que la Noldor reprit en guise de continuité.

Ars est difficilis, recte rempublicam gerere.*
Voici donc la page de Flandre qu’il vous faudra complaisamment écrire et rédiger, Votre Grandeur, en veillant à ne jamais commettre la moindre erreur et, surtout, à ne guère par trop l’entacher.

*Bien gouverner l’état est un art difficile.

Invité

Un sourire se dessina sur le visage d'Amaurie quant il lu la missive de son illustre cousine.

Citation :: Moi Guillaume Amaurie d'Apperault, Comte des Flandres,

A,Charles de Valorl,
Salutations.
J'accepte votre allégeance et vous promets en retour justice protection et subsistance.

Fait le 10 du mois d'Avril 1460 à Bruges
Guillaume Amaurie d'Apperault
Comte des Flandres

Invité

Puis vint le tour d'un Ascalion goguenard d'entrer dans la salle et de se présenter devant le Comte qui lui répondit froidement.

Ascalion vous osez vous présenter ici alors vous avez rompu précédemment vos serments héraldiques en refusant de prêter allégeance à la couronne de France, en déclarant unilatéralement indépendance des Flandres et la plongeant dans le cahot envers et contre tout, sans respecter notre corpus législatif.
Je considère que vous ne méritez plus vos titres et terres Flamandes.
Sortez!

Nombre de messages : 625 Date d'inscription : 22/02/2009

Moitié surpris, moitié amusé, Ascalion se redressa.

Belle exemple de fédération, Votre Grandeur. Auriez-vous menti aux flamands sur vos objectifs ? M'auriez-vous menti sur vos intentions me concernant ?
Cela promet pour votre mandat. Qu'est-ce qui nous attends pour la suite, une chasse aux sorcières, une guerre civile ? Alors que vous étiez sensé rassembler. Alors que vous essayiez de me convaincre de vous faire confiance il y a quelques jours à peine*.
Je vous ai promis consilium, allons-y : je vous conseille de calmer un peu vos ardeurs par la suite, ou vous ne récolterez que le chaos.

[hrp]
* lors des négociations pour la nomination du comte (n'oublions pas que cette cérémonie a lieu en début de mandat)
[/hrp]

Nombre de messages : 94 Date d'inscription : 02/02/2011

En tant qu'ancienne tête de liste du mouvement d'opposition qui s'était levé contre les indépendantistes, le Géant des Flandres* - en sadique repenti qu'il était - ne cachait pas son plaisir de voir le Seigneur de Steenbecque ainsi humilié. Il en aurait presque eu des frissons...

C'est que les dernières élections royales conduisaient à un paradoxe : dans un soucis légitime d'apaisement, traitres et félons ne pouvaient qu'être pardonnés. En ce sens, il y avait quelque chose de frustrant dans le fait de voir ceux qui avaient participé à la fronde venir ici-même s'assurer le maintien de titres pourtant accordés par la Hérauderie royale. Car assurément, une partie - heureusement minoritaire - de la noblesse flamande préférait concevoir la cérémonie d'allégeance comme un moyen de protéger l'acquis plutôt que comme un engagement pour les deux mois à venir.

Ce sentiment d'injustice qui avait dû parcourir les rangs de la noblesse flamande, Sa Grandeur Amaurie d'Apparault venait de l'effacer d'un discours bref, sec et ferme.

Quelques mots d'explication s'imposaient...

Votre Majesté, j'aurais dû vous prévenir mais... parmi les nobles flamands ici présents, une petite minorité avait eu la mauvaise idée de se noyer dans l'idéologie indépendantiste qui empoisonne le Royaume de France depuis quelques temps. Disons que... la scène à laquelle vous venez d'assister est probablement le dernier acte d'un triste chapitre que nous aspirons pour la plupart à voir refermé.

Mais je vous rassure, la noblesse flamande reste en grande partie fidèle à la Couronne et n'a jamais failli à ses devoirs... comme elle l'a bien montré.

Pour sûr, l'image des Flandres était à redorer et d'Acier s'y employait avec sa légendaire... subtilité ?

* HRP: Pour rappel, la cérémonie d'allégeance a lieu avant le voyage entrepris par Klesiange entre Bruges et Tournai et qui le conduira finalement à sa mort.

La cérémonie était bien avancée, quelques retardataires, des messagers patientaient également. Ascalon attendait que tout le monde passe pour lui aussi se présenter devant le comte. Il quitta son pupitre pour se placer devant le comte des Flandres, il posa un genou à terre, baissa la tête et tendit les mains, et dit :

Nous, Ascalon Breydel, Comte de Sint Winoksbergen, Baron de Rumes, Seigneur de Temse et de Cazaux, prêtons allégeance à Sa Grandeur le Comte des Flandres, Guillaume Amaurie d’Apperault, pour notre famille, nos gens et nos terres de Sint Winoksbergen, de Rumes et de Temse.

Nous jurons consilium, obsequium et auxilium, pour nos terres flamandes et prions pour qu’Aristote, dans sa grandeur, vous garde et vous bénisse pour toute la durée de votre règne.

Se faisant, il clôturait la cérémonie.

Nombre de messages : 8 Date d'inscription : 28/03/2012

Les allégeances allaient et venaient, et la rouquine écoutait sagement, bien posée sur son siège.
Et d'assister a la scène un brin interloquée mais sans en montrer une once.
Une explication de Klesiange, un sourire
Je suis fort aise d'entendre que cela est un fin et non un commencement
A nouveau un sourire, un regard vers la noblesse présente et de rajouter
L'attachement est présent oui et fait plaisir a voir, c'est l'élément majeur que je rapporterais a Sa Majesté mon époux dès mon retour sur Paris...
Un peu plus bas
Si quiconque voulait a s'entretenir avec moi pour une raison ou une autre, faites le moi savoir, pour l'heure, cette cérémonie touchant a sa fin, je me retiererai quelques instants

Le soleil était bien tombé, on y voyait de moins en moins dans la salle. Ascalon, toujours à genoux, attendait pour clôturer la cérémonie, car il n'avait pas prévu des stocks inépuisables de bougies.

Invité

Le suivant était un noble qui savaient ou était le véritable intérêt du comté.

Cesear d'Arnèke Baron d'Estaimbourg seigneur d'Arnèke et de Mons en Baroeul
J'accepte votre allégeance et vous promets en retour justice protection et subsistance.

Relevez vous maintenant.

Invité

Citation :: Moi Guillaume Amaurie d'Apperault, Comte des Flandres,

A, Sardanapale de Hauteville, Vicomte de Termonde et Seigneur de Meteren.
J'accepte votre allégeance et vous promets en retour justice protection et subsistance.

Fait le 10 du mois d'Avril 1460 à Bruges
Guillaume Amaurie d'Apperault
Comte des Flandres

Invité

Alineaire, Seigneur d'Espierres.
J'accepte votre allégeance et vous promets en retour justice protection et subsistance.
Soyez le plus réactif possible losque vos services sont requis.
Relevez vous maintenant.

Invité

Un ami du jeune comte se présenta à son tour, il fut accueilli avec un grand sourire.

Pino van Westmalle, vicomte de Gosselies et seigneur de Premesques, de Lendele et de la Beuvrière.
J'accepte votre allégeance et vous promets en retour justice protection et subsistance.

Relevez vous maintenant.

Invité

La vicomtesse Quiou s'avança à son tour. Depuis le début du règne d'Amaurie, la chancelière avait su lui démontrer ses qualités et lui apprendre le service diplomatique. Il lui en était reconnaissant et la reçu avec des accents de chaleur dans la voix.

Quiou Deswaard de Noldor, j'accepte votre allégeance ainsi que celle de la Chancellerie des Flandres.
Sachez que vous avez su gagner mon estime par la force et la discrétion de votre travail.
Je vous promet en retour, justice, protection et subsistance.

Invité

C'était maintenant le terme de la cérémonie, le moment ou Flandres allait à son tour renouveler son serment.
Amaurie lui fit signe de s'avancer.

Ascalon attendait toujours à genoux...

hrp : désolé pas chez moi depuis 2j , mais ça serait bien de boucler cette cérémonie assez rapidement.

Invité

Ascalon Breydel, Comte de Sint Winoksbergen, Baron de Rumes, Seigneur de Temse et de Cazaux

J'accepte votre allégeance et vous promets en retour justice protection et subsistance.

Relevez vous maintenant.

C'était fini. La noblesse c'était peu déplacée mais il était content d'avoir pu voir les quelques vassaux qui c'étaient déplacés.
Il se rendit près du buffet, invitant la reine au passage.

Majesté voulez vous vous restaurer ?

Il lui tendit le bras.

Ascalon inclina la tête puis reprit place. Le Comte interrogea Sa Majesté, mais le héraut se racla la gorge et toussa maladroitement pour lui faire comprendre que la cérémonie n'était pas totalement terminée...

Heuuu Votre Grandeur, avant de pouvoir clôturer définitivement cette cérémonie, il nous faut régler un petit point. dit-il en se plongeant sur la liste des nobles.

Monseigneur Xiangying était au couvent en ce jour, elle est donc excusée. Par ailleurs, deux nobles ne se sont pas présentés, il s'agit de Leurs Grâces Geoffroy d'Harlegnan dict Lunconnu et Telya de Saint-Ange.

Il quitta alors son registre pour se tourner vers le Comte des Flandres, et lui demanda solennellement :

Ils sont donc dérogeant. Souhaitez-vous les destituer ou faire preuve de clémence à leur égard ?

Noble qui ne se sont pas présentés a écrit:: - Geoffroy d'Harlegnan dict Lunconnu et Telya de Saint-Ange [ Lunconnu : Dernière connexion le 03 Mai 2012 ] [ Telya : Dernière connexion le 23 Avril 2012 ]
- Xiangying ( Dernière connexion le 06 Mars 2012) En retraite spirituelle avant le début de la cérémonie.