Cérémonie d'allégeance : Doudou Octobre Novembre 1456

Voyant la vicomtesse Rosa dans l'assemblée.
doudou lança :

Vicomtesse Rosa voulez vous venir dans la salle privée d'allégeance ? Son altesse nous fera une allégeance commune...

HRp

Citation :

bon bah j'ai relu et je ne vois nul part que je reçois dans une salle de réception...

je cite LLyr moi meme (premier message)

Citation :

Il fit, à l'assemblée, néanmoins la piqure de rappel qu'il fallait faire à chaque cérémonie d'Allégeance.

Si Assemblée alors groupe et qui dit groupe dit salle de réception pour la noblesse...
/HRP

* se pince l'arête du nez *
Vostre grandeur, voici Messire Almaric de Margny, Prince de Condé, Comte de Hainaut, Vicomte de Bourbon-Lancy, Baron d'Antigny et de Beaune , Seigneur de Margny, dans tous ses titres et droits.

Votre Altesse, je me permets de vous rappeler que l'on dit votre grandeur et non votre grasce à un comte.

Puis je m'enquerir de l'allégeance commune ? J'avoue ne pas comprendre ...

dépose une autre missive...

Lunconnu a écrit:

Par Aristote,

Par la présente nous Telya d'Harlegnan, née Saint-Ange et Geoffroy d'Harlegnan, Duc de Chaligny, Vicomte d'Oostende, Baron d'Ingelmunster et de Saint-Nicolas, Seigneur de Caestre et d'Hulst, prestons serment d'allégeance au comte de Flandres Doudou. Nous lui promettons obsequium, auxilium et consilium.

Qu'Aristote le guide dans sa tache afin qu'il continue à faire prospérer notre comté comme l'ont fait ses prédécesseurs.


Faict à Tarbes, le cinquième jour du moi de novembre de l’an de grâce mil quatre cent cinquante six.

chuchote au hereault

le prince n' a pas fait son allégeance à Rosa...

Rosa se demandait pourquoi s'était-elle donc fourrée dans un tel pétrin? Embarassée elle s'adressa aux deux belligé... protagonistes.

Nous ne sommes point icelieu pour parler de l'absence d'allégeance de Son Altesse lors de mon mandat mais pour les serments au vôtre... Mais finissez donc vos discussions tranquillement, je prêterais serment ensuite.

La Vicomtesse esquissa une petite révérence et s'en retourna en compagnie rassurante de ses semblables qui attendaient également leur tour.

Allez je retourne dans la salle des allégeances...

Sur le mode chuchottement
C'est que Le Prince était chez les moines à cette période.

Tiens un coursier de plus... et une missive sur la pile

Phillau a écrit:

Par la présente, nous,

Phillau d'Harlegnan, Seigneur d'Ypres, déclarons reconnaître sa grandeur Doudou comme représentent du pouvoir de nostre bon Roy Lévan le troisième de Normandie sur les terres de Flandres.

Nous lui promettons l'obséqium, l'auxilium et le consilium dès lors qu'elle dirigera les bonnes terres de Flandres dans la voie de la grandeur dans le respect de l'autorité de nostre Roy et dans la Foy de nostre Seigneur,

Nous jurons de mettre notre épée au service de sa volonté et sommes prêt à donner notre vie à sa demande.

Nous apposons nostre nom pour sceller ces paroles,


Faict en ce jour du VIIè jour de novembre de l'an de grasce mil quatre cent cinquante six, sous le règne de Lévan le troisième.


Phillau d'Harlgenan,
Seigneur d'Ypres et de Craywick,

Sur le mode chuchottement


ils n'ont pas d'écuyers ou de vassaux ?


jette un coup d'oeil sur le courrier... dis donc il n'avait pas perdu son titre de Ypres phillau ?

Combien d'allégeances depuis que Marchiennes était propriété de la Mesnie de Jeneffe par l'intermédiaire de la flamboyante Licorne brillante d'Or? S'il avait eu l'occasion, et s'il y avait pensé, il aurait sans doute compté. Mais le hic, était qu'il n'avait pas songé à compter puisque c'était de toute évidence la toute première fois qu'il portait une missive pour ses maistres; pour sa maistresse du moins. C'est fou comme en quelques jours le cours des évènements peut changer et que les choses pourtant bien établies peuvent être bouleversées. Il lui était donc revenu à lui, alors que ses semblables battaient la campagne, leur espoir s'amenuisant d'heures en heures, de gagner le castel de Bruges pour les allégeances habituellement bimensuelles. Mais il avait le coeur lourd, le jeune homme. Il n'avait pas vu les larmes ruisseler sur le visage d'albatre de la Comtesse; mais il avait vu ses yeux rouges et secs d'avoir trop déversé l'eau de la douleur; il y avait eu aussi le désespoir alors que les rapports sur les recherches étaient vaines. Et c'était à lui d'annoncer la nouvelle. Ou presque. Il savait le contenu du vélin scellé et fermé dans son carcan de cuir bruni; elle l'avait lui d'une voix tremblante comme pour mesurer les mots qu'elle y avait couchés. Elle n'y croyait pas, cela se sentait. Mais la vérité n'est elle pas une chose en laquelle il est difficile de croire?

Arrangeant sa cape et repoussant la poussière apportée par sa chevauchée, il se présenta au Chateau. L'agitation était pressante; les nobles affluaient - du moins c'était son impression; mais les badauds n'avaient pas non plus manqué le rendez vous. Et parmi la foule grouillante, il lui semblait avoir reconnu un or lionné déjà croisé; il ne lui restait plus qu'à se remettre le propriétaire en mémoire mais cela viendrait en son temps. Il s'avança, dévisagea les quelques personnes présentes quand enfin il réalisa pour l'or familier. Le Prince; le cher et tendre frère de la Comtesse. Il lui adressa un signe de tete mais ne se posa meme pas la question de savoir si le Gros l'avait vu : pensez vous, entre le décolleté d'une jolie nobliaude et un simple messager, il était clair que son choix était fait. Il aurait fait pareil, qu'on se le dise; mais il était loind 'avoir les titres qui permettent d'attirer la noble dans sa couche. Un jour peut etre, mais c'était peut etre pas sur finalement.

Il s'approcha discrètement du "héros" du jour. Non pas celui avec le porte manteau sur la tete (copyrigth GdJ); l'autre juste à coté; celui qui doit bien s'ennuyer à entendre dix mille fois la même chose tous les deux mois et qui sert de boite aux lettres vivante; heureusement, la lourdeur administrative est compensées par les voyages à travers tout le Royaume. Ca le fait réver le garçon; mais bon c'est pas pour lui tout ça. Il laissera le travail aux gens sérieux. Puis bon, il est pas très doué d'esprit, donc le travail n'est vraiment pas pour lui.
S'inclinant bien bas - il sait pas pourquoi mais il sait juste que ça fait classe - il tend dans le meme temps la précieuse missive.

Citation :

De Nous, Daresha de Jeneffe Riddermark,
A sa Grandeur Doudou, Comte de Flandres
A sa Grace Llyr, Maréchal d'Armes Royal

Par la présente,
Qu'il vous soit annoncé que notre bien aimé époux, votre humble serviteur, le Chevalier Guillaume de Jeneffe a été porté disparu;
Qu'il vous soit annoncé que, comme cela est permis par les lois héraldiques de France, nous, Daresha de Jeneffe Riddermark, son épouse légitime, préterons allégeances pour les terres maritales de Marchiennes jusqu'au retour de notre époux en lequel nous avons décidé de croire, même si c'est là chose bien vaine;
Qu'il vous soit dit que nous reconnaissons sa Grandeur Doudou comme Comte de Flandres;
Qu'il vous soit assuré que nous lui jurons, sur notre vie et notre foy, l'auxilium, l'obsequium et le concilium.

Fa en le septième jour du onzième mois de l'an quatorze cent cinquante six,

Daresha de Jeneffe Riddermark,
Comtesse de Scye
Vicomtesse de Marchiennes,
Baronne de St Laurent en Grandvaux et de Calmont de Plancatge,
Dame de Wavrin

La porte de la salle d'allégeance s'ouvrit en toute discrétion..quelques écus versés discrètement avaient suffit à ce que l'on évite de l'annoncer...

24 heures déjà qu'ils étaient de retour sur la terre de Flandres et elle n'avait pu résister malgré la fatigue d'un si long voyage à venir se faire une idée des changements qu'il y avait eu durant leur absence.

Discrètement placée derrière un poteau, à l'abri elle l'espérait des regards, elle observait le balai des nobles.

Finalement tout était presque pareil...une cérémonie terne...lecture fastidieuse de lettres...dont la sienne...tiens ! elle se permit un léger sourire...si elle avait pu se douter que la cérémonie serait si tardive, elle aurait pu presque la faire elle-même...peut être d'ailleurs le maréchal d'armes si il devait l'apercevoir lui demanderait-il de recommencer...

LH dans un coin, Rosa non loin...ahhh tiens Slam Jack avait une nouvelle couronne...très seyante ma foi...le comte semblait endormit...quoique qu'il s'éveilla quelques peu à l'arrivée d'un personnage présenté comme le Prince de Condé...Le fils de Biquette avait donc été reconnu...intéressant...

glissa au Hérault:

envoyée moi la prochaine personne, j'attends...

Elle étouffa un léger baillement espérant qu'il ne fut point sonore au point d'éveiller la foule endormie...certes elle avait connu des allégeances soporifiques mais là on tenait un véritable chef d'oeuvre en la matière...

Du coin de l'oeil elle chercha un banc ou une chaise, de peur qu'elle sombre là, contre son pilier...

Imaginer qu'elle put choir au beau milieu de l'allégeance la fit presque rire...au moins il y aurait un minimum d'animation...

Mais non ! pas un siège qu'elle puisse atteindre en toute discrétion...tant pis...elle se pinça au sang pour tenir ses yeux ouverts...

[Je posterai bien en gargotte mais Aristote semble me le refuser...]

doudou a écrit:

Allez je retourne dans la salle des allégeances...

euh vicomtesse rosa entrée donc dans la salle et que les pages la ferme derrière vous...

[Imprévus IRl désolé du retard]

Citation :

dis donc il n'avait pas perdu son titre de Ypres phillau ?

C'est une bonne question. Je vais me renseigner plus avant en compulsant mes archives.

Le messager qui vint à la suite semblait fort jeune. LLyr lui sourit, pas facile d'être le messager des grands dans de pareille période. Ni vu ni connu en prenant la missive il lui glissa quelques pièces afin qu'il puisse prendre un repas chaud avant de s'en retourner. Puis mit la Missive sur la pile avec les autres estampillé de la mention verbale, "tout à fait valable".

En mode chuchottis (décidément en Flandres c'est contagieux) aupres de la vicomtesse Rosa : on ne promet pas on preste. j'ai un cas en Bourgogne comme celà qui m'a valut un procès ignoble en son temps pour l'avoir dit. Procès cassé par sa Majesté elle-même d'ailleurs. Le mieux serait d'invoquer le lapsus et d'amender vos paroles.

Mais Messire Comte, nous sommes dans la salle d'allégeance...

Après de nombreuses préripéties, DonChile arriva par pur hasard dans cette grande salle où finalement avait lieu le serment d´allégeance...

Pour une enieme fois, il preta allégeance au Comte Doudou, à croire qu´il aimait cela, DonChile était sur qu´il faisait volontairement la sourde oreille.....

Citation :

Moi, DonChile, Seigneur de Comines, prête allégeance aux terres de Flandres et à sa grandeur le comte Doudou, qu' Aristote le garde.

Nous lui jurons obsequium, auxilium et consilium.
Qu'Aristote protège les Flandres.

DonChile de Comines
Bruges, Le 14 novembre 1456

Doudou vit arriver son MA préféré, il lui sourit et devant sa hâte à prêter à allégeance, le fit entré dans la salle.
Il écouta l'allégeance et s'approcha pour lui faire le baiser de la paix.

Comme signe de ma reconnaissance reçoit le baiser de la paix...


Puis il libéra Don Chile.

Prince de Condé voulez vous prêter allégeance ? lança t il en direction du prince